Après, il sera trop tard !
Je vous invite une seconde fois à lire l'appel, et éventuellement à le signer, ici.
Après, il sera trop tard !
Je vous invite une seconde fois à lire l'appel, et éventuellement à le signer, ici.
Le sommet s'approche à grands pas, et force est de constater que je ne sais pas bien quoi faire. Autant je suis compétente et responsable pour réduire mes déchets, dépolluer mon frigo (et mon estomac), prendre mon vélo, le bus ou mes jambs à mon cou, autant là ..
Je vous demanderai donc de bien vouloir lire ceci. C'est un peu long, mais je pense que c'est bien rédigé et assez neutre pour pouvoir être signé par de nombreuses personnes. Même si personnellement, l'objectif (sera-t-il atteint ?) du million de personnes assez ... Minime. CA ne fait que deux pour cent ....
Si vous préférez, "La pétition "seal the deal" est adressée aux décideurs dans leur ensemble, et a été lancée par les bureaux de l'ONU, qui est une organisation intergouvernementale. " (Citation issue du site de l'appel unitaire, en lien en bas)
Merci !
Monsieur le Président,
Au mois de décembre de cette année se tiendra à Copenhague le Sommet de l’ONU sur le climat. Confrontés au péril climatique, les dirigeants du monde entier devront parvenir à surmonter leurs divergences d’intérêts de court terme pour se rassembler autour d’un projet politique mondial fondé sur un constat scientifique objectif et ainsi donner une suite au protocole de Kyoto qui soit à la hauteur des enjeux que nous allons devoir tous ensemble affronter dans les décennies à venir. Le résultat de cette conférence dessinera l’avenir climatique de l’humanité. Or comme le rappelait il y a un an le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-Moon, « nous sommes au bord d’une catastrophe si nous n’agissons pas ».
Acteurs reconnus de la protection de l’environnement, des droits humains et de la solidarité internationale, conscients des responsabilités qui sont les nôtres, nous avons décidé pour la première fois de parler d’une seule voix pour vous exprimer publiquement notre préoccupation et vous appeler à agir avec ambition et détermination lors de la Conférence de Copenhague. Au regard de l’ultimatum climatique auquel l’humanité est confrontée aujourd’hui, Monsieur le Président, vous aurez rendez-vous avec l’Histoire en décembre 2009.
Le réchauffement du système climatique est sans équivoque. L’activité humaine en est la cause. Ses impacts se font déjà ressentir en différents points du globe, notamment par la multiplication des catastrophes climatiques. Si nous n’agissons pas maintenant, ils seront sans aucun doute encore plus dévastateurs. C’est le constat sans appel de 2 500 scientifiques du monde entier qui ont reçu collectivement le Prix Nobel de la Paix en 2007 pour leurs travaux sur le phénomène des changements climatiques. Depuis, de nouveaux éléments scientifiques montrent, chaque jour, que le climat se dérègle au-delà des prévisions les plus pessimistes, avec des conséquences bien plus précoces que prévues et d’ores et déjà visibles.
S’il est encore difficile d’évaluer avec précision l’amplitude des impacts, le danger est en revanche déjà certain. Ecosystèmes ravagés, variabilité climatique extrême, hausse du niveau des océans… : les premières victimes de ces catastrophes en chaîne sont les populations déjà vulnérables en Afrique subsaharienne, en Asie centrale, du Sud Est ou dans de nombreux pays insulaires. La sécurité alimentaire, l’accès à l’eau ou à la terre sont gravement menacés et des centaines de millions de personnes risquent d’être poussées à l’exode, grossissant les rangs de ceux que l’on nomme les « réfugiés climatiques ». Dans un monde de crises, nous craignons que la guerre, l’autoritarisme, les inégalités, la misère et la souffrance humaine prennent encore un peu plus le pas sur la paix, la dignité humaine et la démocratie.
L’urgence climatique nous commande donc d’agir à la hauteur des périls qui sont devant nous. Nous maîtrisons déjà la plupart des technologies nécessaires pour relever le défi d’un mode de développement qui intègrerait à sa juste mesure l’impératif climatique. De plus, cette rupture avec un modèle de développement hérité d’un passé révolu recèle des opportunités d’économies, d’emplois et d’innovations considérables. Encore faut-il que nous prenions la décision politique de le faire.
Tout d’abord, il faut impérativement parvenir à stopper la croissance des émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici à 2015 avant de les faire décroitre. C’est la seule voie pour limiter le réchauffement des températures bien en-dessous de 2°C, seuil au-delà duquel la capacité à s’adapter de nos sociétés et des écosystèmes est menacée. Pour ce faire, Les pays industrialisés, dont la France, doivent s’engager collectivement à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre d’au moins 40% d’ici à 2020 par rapport à 1990.
Mais cela ne sera pas suffisant. Les pays en développement doivent, eux aussi, mettre en place les politiques industrielles, énergétiques et agricoles qui limiteront la croissance de leurs émissions avant de les réduire, sans compromettre leur légitime aspiration au développement économique et social. L’accord de Copenhague devra permettre à ces pays d’évoluer vers des modèles sobres en carbone. Il devra aussi leur permettre de s’adapter aux conséquences inévitables du changement climatique.
Pour nombre d’entre eux, en particulier les plus vulnérables, ces actions ne pourront se faire sans le soutien financier et technique des pays industrialisés. Les besoins d’ici à 2020 sont évalués à plus de 100 milliards d’euros par an. C’est moins de 10% des dépenses militaires mondiales.
Responsables de la majorité des émissions de gaz à effet de serre aujourd’hui dans l’atmosphère, munis de capacités d’action plus fortes, les pays industrialisés portent la responsabilité morale, légale et économique de mener le combat contre le dérèglement du climat. Monsieur le Président, vous vous devez de prendre la tête de ce combat qui est sans aucun doute l’enjeu de ce siècle. Notre avenir commun dépendra dans deux cents jours des choix politiques qui seront faits.
Ca se passe ici.
Déjà hier, Claire luttait contre la surpopulation annuairesque, et la voilà qui récidive.
Regardez le beau bidule qu'elle nous a déniché ...
Evidemment, c'est surtout le coté écolo qui me branche, même si je le trouve très esthétique. Chez nous, on n'a pas la place pour un lave-mains dans les WC, mais si je trouve un billet de 770€ par terre, ça me plairaît !
Plus d'infos ici.
Pour une fois :P , Claire est en avance d'une longueur sur moi niveau écologie. J'ai pensé à demander à ne pas recevoir l'annuaire, mais pas à vous suggérer de faire de même ! La distribution ayant lieu en Octobre, c'est le moment de le faire !
C'est quoi ce travail ?
La super petite note de Claire qui vous explique comment faire ! (Et ça rime)
Ca se passe comme d'habitude, on va voir par là, on commente cette note ou là, et on voit aprés !
Depuis peu, vous pouvez aussi me joindre par ce formulaire.
Petit à petit, je (seulement moi, parce qu'il faut reconnaître que l'Homme-Chocolat n'a pas cinquante tonnes de vêtements, de vieux magazines féminins, de bazars divers et variés) trie, je vide, je nettoie, j'allège. Ca n'est pas facile, j'ai une (sainte) horreur de jeter des trucs.
Pour cette raison autant que par souci d'écologie, j'essaie de trouver le plus possibles d'astuces pour recycler, donner, partager ...
C'est comme ça que j'ai trouvé ce site. C'est tout simple, tout gratuit, ça prend dix secondes de laisser une annonce. Aucune inscription requise, vous recevez directement les mails des "récupeurs" dans votre boîte.
Rien d'autre à faire !
A vos armoires ! :)
Je ne voulais pas de wi-fi chez moi.
Et pis ... Et puis j'ai gagné à un tirage au sort (en votant sur un site pro pour les matériaux du BTP de l'an 2009, c'est dire que j'avais à peine vu qu'on pouvait gagner un truc), un Nabaztag-tag.
Et puis , finalement, je me suis rendu compte que je n'avais jamais le temps de m'en occuper. En plus, je ne suis pas persuadée que le wi-fi ne soit pas mauvais pour la santé, opinion grandement partagée par l'homme-chocolat.
C'est donc sans trop de regrets qu'aujourdh'ui on a mis en vente le Nabaztag, et coupé le wifi.
Wouhou !
(Image de fin tirée du super blog ecolo[geek]. )